Département du Puy-de-Dôme

La V70 ( ou Via Allier ) est une véloroute qui traverse l’Auvergne en suivant la rivière Allier, dans les départements de l’Allier, du Puy-de-Dôme et de la Haute-Loire. La Via Allier s’inscrit dans un grand schéma de véloroutes déjà réalisées ou en projet à l’échelle nationale ( Loire à Vélo, Via Fluvia, Via Rhôna, Méditerranée à Vélo… ).
Sur son territoire régional, c’est la Région Auvergne-Rhône-Alpes qui s’empare de cet itinéraire pour en faire un véritable atout régional. C’est aussi elle qui insuffle une véritable dynamique dans la mise en oeuvre des projets d’amélioration de cet itinéraire. Sur le territoire du Puy-de-Dôme, l’ambition du Département est de transformer cet Itinéraire en voie verte, afin de permettre une découverte respectueuse de la rivière et de ses affluents. Ce projet s’inscrit ainsi au coeur de l’engagement global du Département en faveur de la transition écologique. Compte tenu du projet, de nombreux acteurs sont concernés, agriculteurs, collectivités, riverains… et de nombreux enjeux se font jour : enjeu d’image, enjeu d’engagement et de confiance avec toutes les parties prenantes, enjeu sociétal, enjeu d’aménagement du territoire et de nouvelles mobilités. Pour y répondre, Résonance Publique et Nalisse ont proposé un groupement pour associer intimement communication et concertation.

Nous avons proposé une double stratégie de communication et de concertation, accompagnée d’un récit matriciel. Plusieurs ateliers et un événement ont été organisés, un film drone (réalisé avec Studiofly) a également été conçu afin de donner à voir tout le tracé de la Via Allier. Un territoire graphique ludique a également été mis en place.
Objectifs :
• Affirmer la concertation comme une véritable étape du projet ;
• Aller sur le terrain, à la rencontre des parties prenantes ;
• Vulgariser le discours sur le projet pour faire monter en compétences les parties prenantes ;
• Valoriser l’engagement du département dans le projet et affirmer son leadership en tant que maître d’ouvrage ;
• Préfigurer les usages et les bénéfices pour faciliter l’engagement des parties prenantes ;
• Valoriser la parole de chacun et montrer en quoi elle influence le projet ;
• Assumer ce qui n’est pas concertable et se concentrer sur ce qui l’est : l’acceptabilité, les aménagements locaux et les usages.